A lire:
Dans la presse:
Traction-Brabant, numéro de novembre 2020
"la langue sait se faire facile et accessible, comme si l'amoureuse éconduite tentait - enfin - à nouveau la séduction, sans artifices, sans effets de manche"
"Hélène aime lecteurs et lectrices, leur confie tout parce qu'elle est entière. Sa poésie pulse la vie, car la vie est évidemment toujours la vie, même - surtout? - après une rupture."
Ici: lire en entier le très bel article de Florent Toniello
Le Matricule des anges, numéro de juin 2020
"Plus que l’état d’amour, c’est sa nature, sa violence, son principe cosmique que ce Je capture (...)
C’est au bouleversant de cette réalité, avec tout ce qu’elle contient de subjectivité, de doute et d’invention, qu’Hélène Fresnel donne corps"
Le très bel article de Gwen Garnier-Duguy, numéro de mai 2020
"Ces images nées du silex des mots frottés les uns contre les autres (...). Sont-ils le ciel palpitant au coeur de nos mains qui écrivent, qui chantent? Fresnel est à ce titre une poétesse des profondeurs (...)
... moins une adresse à l'Absent qu'une lettre au Présent""
Femmes de parole, numéro 1 de septembre 2021
" C'est bien cette capacité de la poétesse à franchir le cloisonnement contemporain, à engager dans chacun de ses chants, poèmes ou chansons les énergies contraires, élémentaires, instruites de son seul sentiment, qui m'inspire. (...)"